Coucou tous le monde
Je me lance dans cette fanfiction qui est un tout nouveau style d'écriture pour moi.
Je ne sais pas si il y auras du jisbon....
Un type de fanfiction beaucoup plus sombre tourné sur R.J et sur les enquêtes.
La Fiche:
Titre: Red John's victory (la victoire de John Le Rouge)
Genre: Policier, suspens, drame, humour (un tout petit peu) et peut être de la romance...
Rating: ???
Personnages: Jane, Lisbon, Red John, la team, Bertram en chef du CBI et d'autre personnage sortie de mon imagination.
Résumé: Lors d'une enquête sur John Le Rouge et d'un moment de faiblesse Jane et Lisbon s'embrasse mais tout tourne mal et Teresa se rend compte qu'elle n'est pas en sécurité et surtout pas à Sacramento car l'ombre de Red John plane toujours...
Discriminer: Cette série ne m'appartient pas (dommage...) les personnages sont à Bruno Heller sauf ceux tirer de mon imagination.
Merci à MaTessaJane (d'un autre forum) pour la correction, l'idée du résumé de cette fanfiction et les textes coupés en paragraphe.
Chapitres:
-Chapitre 1 - Dans ce poste
Chapitre 1
Encore une enquête compliquée amené par Red John, et pas n’importe quelle enquête. Lisbon savait que celle-ci avait particulièrement touché Jane, car les victimes étaient une femme et sa petite fille. La petite, comme Charlotte, avait une longue chevelure blonde bouclée et ce parfum à la fraise si connu des enfants.
Pendant toute la durée de l’enquête Patrick était resté enfermé dans son grenier et il n’en était sorti que deux fois, la première pour parler au veuf en lui expliquant qu’il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour retrouver l’auteur de ce massacre, et la seconde fois pour élaborer son plan et attraper le meurtrier. Avec des aveux, évidement.
Une nouvelle enquête de bouclée, mais aucun indice sur John Le Rouge, Jane et Lisbon y avait cru une seconde en trouvant un minuscule cheveux brun sur la chemise de nuit de la victime, mais il s’était avéré que ce cheveux appartenait à son amant qu’elle avait viré de chez elle, pour vivre pleinement son amour avec son mari et rassuré sa petite fille.
Teresa senti les courbatures venir et elle se dit qu’une petite marche ne pourrait pas lui faire de mal, elle posa son stylo à bille et leva les yeux de ces rapports pour trouver tout les bureaux vides et éteint, sauf une petite lumière dans l’open-space de son équipe était resté allumé ce qui donnait une ambiance légèrement tamisé à la pièce.
En regardant dehors, la belle brunette vu un ciel noir encre sans étoile, une pluie fine tombait à l’extérieur et un bruit de klaxon interrompit sa rêverie. Elle se leva et sortie de son bureau dans l’espoir de faire disparaître ses courbatures et de trouver l’inspiration pour son rapport.
La fraicheur de la pièce la troubla mais elle se dirigea quand même vers le canapé de son consultant, le médium était allongé et observé du coin de l’œil la tache d’Elvis dans la pénombre du plafond.
« - Bonsoir Lisbon, la salua-t-il.
- Salut Jane.»
Ce fut leur seuls mots, il se releva et lui laissa une place à côté de lui, le silence
régnait. Pas de parole, aucun mot n’étaient nécessaire, seule les regards, un combat.
L’océan contre l’émeraude, deux personnes brisés par leur passé et par leurs vies.
Doucement, tendrement, il se rapprocha d’elle et posa ses lèvres sur les siennes.
Pour n’importe qui, ce simple geste aurait put sembler anodin, vu leur relation mais pour eux c’était tous simplement incroyable, extraordinaire voir plus.
Lisbon ressentit le besoin de ressentir plus et approfondit le baiser, mais au plus grand étonnement de la brunette, le jeune homme s’écarta et lui susurra un délicat pardon avant s’enfuir dans la nuit tel un voleur.
Les portes de l’ascenseur grincèrent et emmenèrent son cœur, cette boite de métal amena son amour de toujours.
Des larmes se formèrent au coin de ces yeux, mais Teresa étais une femme forte, non, elle ne pleurerait pas. Elle se leva et jeta un regard de dégout à ce rapport, où sur plusieurs lignes elle avait écrit les louanges de son consultant.
Elle se rassit mais ses pensées divaguèrent sur ce baiser. Il avait eu un gout de cerise, probablement venant de son dernier thé, et un léger gout de rose.
Elle grimaça en se souvenant de la manière dont l'avait sauvagement embrassé la sœur du veuf qui était censé remonter le moral de son frère et qui c’était retrouvé à filtrer puis à embrasser langoureusement un Patrick désemparé au milieu du Bureau Californien d’Investigation devant une quinzaine d’agents mort de rire et de son mari qui avait fait la tête sur le coup, mais qui c’était ressaisit.
Il fallait dire que madame DeRochetour était une femme sublime du genre qui a passé sa vie à se nourrir de jus de pamplemousse. Des formes parfaites, pas un kilo en trop et ses courbes mises exactement au bon endroit, une démarche féminine. Cette jeune femme était une séductrice invétérée, elle n’avait que vingt et un ans mais avait tout laissé tomber pour ce marier avec ce bourgeois radin de plus de soixante-dix ans. Le premier mot venant à la tête de Lisbon pour clarifier cette femme fut : folle.
Elle regarda péniblement son écran. Si elle avait pu, elle aurait remit tout ça au lendemain, mais son directeur, l’agent spécial Bertram, ne supportait pas les retards et des hurlements de la part de son patron était bien la dernière chose dont elle avait besoin en vu des circonstances.
Elle se rassit donc lourdement sur sa chaise de bureau et continua son travail non sans faire quelque allusion sur son maudit, magnifique, horrible, fantastique consultant (barrer les deux adjectifs inutile). Le rapport fini, elle se releva, se dirigea vers la porte, la ferma et se dirigea vers l’escalier. Oui pas l’ascenseur, pourquoi ? C’est très simple Lisbon a toujours eu la phobie de ces engins, avec d’autre personne ça ne lui pose pas de problème mais seule elle ne supportait pas de monter là dedans.
Arrivée à sa voiture complètement essoufflée (nda : tu m’étonnes après cinq étages !) elle monta dans sa voiture et, contrairement à ses plans pour la soirée, se dirigea vers son appartement et non vers un pub Irlandais choisi au hasard parmi tant d’autre dans les ruelles sombre de Sacramento.
Elle chercha pendant plus de dix minutes ses clés dans son sac à main et ne fut pas surprise de les retrouver dans le chargeur à moitié vide de son arme. Il faut dire que depuis ce fameux baiser, l’esprit de la belle était complètement embrouillé.
Arrivés dans l’entrée, elle posa son sac sur le sol, son manteau sur le porte manteau et son insigne, son arme et ses menottes dans un coffre où était réunit tous ce qui touchait de près ou de loin au CBI. Elle ne sut que faire, elle cette petite brunette seule au milieu de son grand salon rempli de quelque carton et de meuble clair qui n’avait pas été changé depuis des années. Même les tableaux venaient des anciens propriétaires.
Elle se servit un verre, mangea une part de pizza surgelée et s’assit sur son canapé beige devant son écran. Un film passait sur la première chaine, une sorte de comédie à l'eau de rose. Pas du tout mon genre, pensa-t-elle.
La fin arriva bien trop vite au gout de la jeune femme qui avait commencé à regarder le film alors qu’il en était déjà aux trois/quarts, l’histoire n’avait rien de très intéressant en soi Le coup classique.
L’homme qui trompe sa femme, elle sent rend compte et veut se donner la mort tellement elle est désespérée mais au dernier moment son mari arrivé lui dit qu’il voulait la rendre jalouse pour voir sa réaction et ils se remettent ensemble. Pas du tout original et complètement nul d’après la brunette mais bon, c’était fini et c’était le principal.
Elle monta une à une les marches mais arrivée à sa chambre sur le mur face à la porte un smiley dessiné avec du sang la nargue de son grand sourire sadique et ensanglanté…
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A suivre....? C'est comment ?